L'île de la dérivation, c'est moche !
Un autre de mes coins absolument préférés est la petite île dite "de la dérivation" sur la commune de Carrière sous Poissy. On peu y accéder en vélo via les bords de Seine en venant d'Andresy ou en voiture via la D55. (voir carte ici)
Impossible de rentrer sur l'île en voiture, l'accès se fait un un petit pont étroit, les restes d'une écluse à l'abandon. De ce fait, on circule à pieds ou en vélo, parfois en tracteur pour ramener les courses à la maison ! Dans une région souvent oppressée par le rythme des transports en commun, les gens de l'île ont une philosophie bien à eux. Ici, la convivialité est de mise : on se dit bonjour quand on se croise, on se connait, et tout les ans, vers fin juin, est organisée la fête de l'île. Chacun sort tables, parasols et tartes, tout le monde est bienvenue, dans une ambiance de partage bon enfant.
En effet, le fleuve paisible coupe un peu l'île du reste du monde. On s'y sent un peu en vacances, préservés des bruits de la terre, pourtant pas si lointaine. L'île est séparée en deux parties. Dans la première, la partie habitée, vous trouverez toutes sortes de maisons, notamment de très belles maisons d'architectes. Vous pouvez dans un sens remonter l'île jusqu'au pointil où se troupe un groupe de maisons abandonnées (mon premier "spot" d'urbex : nostalgie !) puis revenir en longeant le fleuve, dans des odeurs de fleurs ou de feux de cheminé, selon la saison.
Les habitants appelle la deuxième partie « la pleine ». C'est ici, dans cette petite prairie que se déroulent les fêtes et les vides greniers. Un petit bois termine l'autre moitié de l'île, avec un chemin bordé de très vieux arbres alignés. On y trouve parfois des surprises...
Une des choses qui font le charme de la région parisienne : tomber sur un élément complètement incongru et inadapté au décors : ici, des fauteuils de cinéma, pour regarder le spectacle de la nature, au bout de l'île. (mais comment et pourquoi sont-ils arrivé là ?!). Une autre fois, je suis tombée sur une poupée suspendue par les cheveux à une branche d'arbre, au dessus du fleuve. Le courant l'avait sûrement amenée ici, mais ça fait un drôle d'effet, façon "isla de la munecas"...
<--- Vous flippez trop votre mère, avouez le.
Je ne peux que vous encourager à vous dépêcher d'aller profiter de ce petit coin merveilleux car il est menacé par la construction d'un autoroute, et notamment d'une pile de pont. La petit île qui n'était reliée à la terre que par un chétif petit pont risque fortement de perdre son charme. Les habitants se battent depuis des années pour préserver leur mode de vie. Espérons qu'ils tiendront bon !
Pour en savoir plus, le site internet de ce petit paradis menacé
Deux théories SIC dans Doctor Who
Ceux qui me connaissent bien et ceux qui me connaissent moins savent qu'à certains moment, je peux être animée d'envahissantes obsessions pouvant pourrir la vie de mon entourage (désolée). Vous l'auriez peut être remarqué, l'obsession du moment porte du la série de SF anglaise Doctor Who.
Parallèlement, je me suis retrouvée cette année avec un mémoire de recherche, normalement réalisable en deux ans, à faire en seulement une année. Je partage donc mon temps entre ma série de science fiction préférée et les théories SIC (sciences de l'information et de la communication, mon domaine d'étude) portant sur l'intelligence collective, l'auto-organisation des collectivités et l'intrusion de la technique dans notre façon de penser. Lorsqu'on a tous ses neurones disponibles utilisés par deux univers différents, on ne peut s’empêcher par voir des ponts entre eux. Découvrez donc, aujourd'hui, deux théories SIC grâce à l'univers du Docteur !
Cybionte et Oods
Dans L'homme symbiotique, Joël de Rosnay invente le concept de CYBIONTE (mélange des mots « cybernétique » et« biologie »). Le cybionte serai un organisme planétaire dont chaque cerveau humain serai les cellules, les neurones. Un cerveau géant, en quelque sorte, d'où émergerait une conscience et une intelligence collective. Évidemment, il s'agit d'un concept abstrait. On retrouve cette idée en Cybernétique (le mouvement scientifique qui étudie le fonctionnement des systèmes par l'étude des relations et des interactions) : un esprit humain ne fait sens que lorsequ'il est connecté. En effet, parler tout seul ne sert à rien. A partir du moment que l'on communique (et, selon l'école de Palo alto, il est impossible de ne pas communiquer)
<-- Photo : les créatures de Doctor Who ont la particularité d'être à la fois super moches et en même temps trop mignonnes.
Chez les Oods, on trouve trois cerveaux, dont deux individuels. L'un est le centre moteur (dans la tête), l'autre le centre des émotions et du libre arbitre (dans la main : . Le troisième est une ÉNORME et unique cervelle, qui permet aux Oods de synchroniser leurs chants et d'agir collectivement comme un seul organisme, afin d’atteindre l'harmonie.
Je n'ai pas trouvé de photos du cerveau des Oods, alors pour me faire pardonner, un lien vers une chanson mignon, parlant de Oods courants dans dans la neige, le cerveau dans la main :
Chez les Seigneurs du temps, on retrouve aussi une sorte cerveau collectif, à la différence qu'il s'agit plus d'une base de données géante que d'un élément émetteur d'une pensée unique. « Ça, c'est le lien des réflexes, par lequel je peux me régler dans l'intellect des Seigneurs du Temps. Mille-super cerveaux en un seul. », dit Tom Baker, quatrième docteur, dans l'Arc des classiques intitulé The invisible ennemy. (Pas de bol pour lui, son exil sur terre suite au vol du Tardis l'a coupé de toute connexion avec le cybionte.)
Cybermen et Transhumanisme
Il y a beaucoup à dire sur le transhumanisme, mais, en gros, il faut savoir que ce mouvement culturel et intellectuel est née en 1957 sous la plume de Julian Huxley (le frère d'Adouls, vous savez : Le meilleur des mondes...). Les adeptes du mouvement propose une nouvelle humanité (humanité 2.0 ?), augmentée grâce à la technique : un Homme parfait, débarrassé de ses faiblesses. Les machines, remplaçant notre chair putrescible, nous permettraient non seulement de vivre beaucoup plus longtemps (voire éternellement), mais aussi de transcender la douleur, de guérir les maladies, d'oublier les handicaps... Ça ne vous rappelle pas quelque chose ?
John Lumic, le créateur des cybermen. Au stade final d'une maladie le clouant sur un fauteuil roulant, il se sert de la technologie dans l'espoir d'allonger la durée de sa vie et d’apaiser ses souffrances...
Au final, il invente ce qu'il appelle une "humanité 2.0", ce qu'on appelle aussi aujourd'hui "homme augmenté". Ca commence par une sorte de téléphone, en forme d'oreillette, portée comme un bijoux, synchronisant l'humanité sur un flux d'actualité, directement branché au cerveau et ça termine sur des corps en métal, dont l'enveloppe charnelle a été brulée pour ne conserver que le cerveau (et encore, ils auraient pu le remplacer par de la résine, comme l'a fait ce scientifique timbré).
L'Homme : le nouvel iPhone. Cool, non ?
Abordons à présent le sujet des cyborgs. Par des cyborgs de science fiction, non. Des VRAIS cyborgs. Non, je n'ai pas définitivement tourner la carte, avant de m'interner, laissez moi vous parler d'un personnage assez fantastique, qui pourrait tout aussi bien sortir d'une BD de SF : Steve Mann. Fièrement autoproclamé "cyborg", ce mec vit depuis 1995 avec 24h/24 un ORDINATEUR CONNECTE A SON CERVEAU, analysant ses rythmes biologiques et un écran lui bouchant la vue d'un œil (sorte de Google glass avant l'heure), lui reconstituant une réalité augmentée, filmée par une petite caméra.
Il faut le reconnaitre, il a l'air plutôt bien cinglé.----------->
Pour lui, l'homme doit trouver dans la machine, et notamment dans l'ordinateur, un allié, un tremplin afin d'augmenter son intelligence, affiner sa pensée, aller plus loin dans la Science. (c'est beau, c'est technophile, c'est plein d'espoir, n'est ce pas ?)
Bref, il m'a rappelé la phase intermédiaire entre l'Homme et le cybermen : la petite oreillette (mais une oreillette gentille !)
Sauf que bon, elle est bien jolie et bien mignonne, la vision technophile de Mann, mais le monde des cyborgs de Doctor Who, c'est pas celui des bisounours. Et depuis quelques années, pas mal de chercheurs ont réfléchis aux limites du transhumanisme. Howard Rheingold (un sociologue américain, plutôt technophile d'ailleurs, qui a livré un travail passionnant sur le phénomène des smarts mobs), se demande justement quelles limites imposer à cette intrusion de la technique dans la chair, craignant que l'homme-machine n'en soit justement plus un, d'homme.
Dans la même idée, Heidegger (un philosophe allemand du début du XXeme siècle) pensait que la technologie résultait de la volonté humaine à vouloir transformer le monde en ressources exploitables. Joseph Weisenbaum (un informaticien germano-américain, inventeur d'un programme pouvant être considéré comme le premier bot) va plus loin en affirmant que connecter les tissus nerveux de créatures vivantes aux machines serait une abomination : en effet, penser les problèmes humains comme informatisables serait un premier pas vers la transformation de la pensée humaine en matériel "exploitable", et donc pragmatique (dans le sens "orienté vers un but"). Où serait la place de la fantaisie dans tout cela ? De l'art et surtout... de l'émotion ?
PS : A contrario, on trouve Andy Clark (un philosophe contemporain anglais), qui explique que ces débats sur les cyborgs sont stériles, car si le cyborg se défini comme l'humanité augmenté par la technique, nous sommes des cyborgs depuis que nous avons eue l'idée de nous servir d'un outil. Alors lâchez facebook, bande de cybermen, et partons vivre dans des troglodytes élever des chèvres, comme je l'ai toujours dis !
En bonus, une vidéo dans laquelle des "virtuals cybermen" envahissent facebook. Vous n'oserez plus jamais poker quelqu'un :
A lire : un article sur la philosophie dans Doctor who (en anglais)
RHEINGOLD Howard. Foules intelligentes : la révolution qui commence, éditions M2, 2005
DE ROSNAY, Joel : L'homme symbiotique, Le Seuil, 2000
Et son blog
A écouter : une émission de radio (datant un peu), résumant bien le mouvement post et transhumaniste : Exocet (écoutez cette émission ! C'est super et on découvre des tas de choses sans se prendre la tête !)
Conflans Sainte Honorine, c'est moche !
Je précise, afin de m'éviter de futurs trolls éventuels (non, je ne suis pas parano), que les titres de la rubrique et des articles sont bien évidement ironiques...
Pour la première visite de cette rubrique, j'ai décidé de vous faire partir de là où tout à commencé pour moi, là où ma mère à trainé ma poussette, là où j'ai fais mes premières bêtises, bref, là où j'ai grandis : la très jolie ville de Conflans Sainte Honorine. A cheval sur les départements du Val d'Oise et des Yvelines, son nom signifie "confluent" car elle est le lieu de la rencontre entre deux grandes dames du coin : la Seine et l'Oise. C'est une ville calme où il fait bon vivre, chaque habitant vous le dira !
Bon, on commence la visite ? C'est parti !
La balade la plus agréable à faire (celle du dimanche, des parisiens et des touristes , OUI, ON A DES TOURISTES !), c'est évidemment les quais de Seine, avec ces nombreuses péniches garées cote à cote. le plus simple est de partir du parking sur les quais, près du centre ville puis de remonter la Seine vers le confluent.
N'oublier pas au passage de choper le programme de la péniche Story boat, un théâtre flottant qui propose de très bonnes pièces pour vos soirées ! (et pour VRAIMENT pas cher, avec possibilité après de boire un ch'tiot coup avec les acteurs, metteurs en scènes et propriétaires du bateau) (j'adore aussi leur gazette, les cancans du story boat, en particulier les aventures de leur chat, Bérénice Chavert, qui est la preuve vivant que je ne suis pas la seule à donner un nom de famille à un chat...)
En remontant, vous avez possibilité de traverser la Seine via la passerelle piétonne, qui donne une super vue sur la vielle ville. Après cette passerelle se trouve Achère et les Etangs du Cora, qui fera l'objet plus tard d'un autre article.
Sinon, vous pouvez choisir de partir dans l'autre sens, vers Herblay. Je trouve les berges plus agréables de ce coté, avec pleins de jolies péniches et de petits ponts. La ville a vraiment essayer de rendre l'endroit le plus attractif possible pour les locaux et les touristes, et c'est vraiment réussit.
Plus loin, pour les journées du patrimoine, ouvrent les champignonnières d'Herblay, une visite à ne pas manquer ! Accompagné d'un guide, vous parcourerez, souvent en petit comité, les passages souterrains menaçant la ville d'Herblay d'effondrement depuis des années.
Pour revenir sur Conflans, passez par les ruelles qui remontent vers le parc du prieuré et vers le château, qui abrite un musée de la batellerie (vous vous en fichez surement, mais quand j'avais 14 ans, j'y ai fais mon stage de troisième : une semaine à fouiller dans le musée, des collections exposées aux réserves dans le grenier, en passant par les caves aux arcs voutés... Inutile de vous dire que j'avais vraiment pris mon pied...)
Sur le chemin du retour, un super restau italien : le Venezia... (il faut ABSOLUMENT y goûter leur spécialité de pâtes flambées dans une meule de parmezan : le goût du paradis)
La vielle ville est remplies de petites venelles piétonnières dans lesquelles il fait bon se promener en famille un dimanche après midi.
Attention ! Inspection surprise ! Je ne veux voir qu'une seule proue !
Des petits bijoux geek
Depuis toute petite, j'adore manipuler des petits objets, bricoler, fabriquer des trucs. Des le moment où mes doigts ont été assez agiles pour enfiler des perles, je me suis mise à faire des bijoux (avec plus ou moins de réussite). L'année dernière, j'ai découvert la pâte polymère (ou fimo), pour laquelle j'ai eu un total coup de foudre : facile à utiliser, elle permet de faire des bijoux pas très chers et dont la seule limite est là où votre imagination peut vous porter !
J'ai donc eu envie d'utiliser cette matière pour rendre hommage aux trucs que j'aime. Voici donc quelques échantillons de mes créations autour des univers que j'aime.
J'ai réalisé ce pendentif (porté au long d'une longue chaine en cuivre) l'été dernier, alors que je passais de longue heures sur la plage au prise avec les très agaçantes-et-pourtant-si-addictives énigmes du professeur Layton, suant toutes les goutes de mon corps sur ma DS et m'arrachant ma chevelure.
Le petit chapeau est en polymère et le pendentif rond est consitué d'un cabochon trouvé dans des puces belges (pour un euro les 5 !!), que j'ai personnalisé grâce à ma fidèle imprimante.
Attention, mortel, tu rentre dans l'obsession de Lucille depuis la rentré ! Depuis que j'ai ce délire pour Docteur Who, j'ai réaliser plusieurs bijoux sur le thème du Whoniverse.
Les daleks sont les créatures les plus mignonnes de l'histoire de la science fiction. Mon rêve est d'en avoir un domestique, comme dans le webcomic The search for the truth.
Je porte ces boucles d'oreilles pour me donner du courage lorsque j'ai besoin de courage : examen, réunion... Entretien d'embauche, peut être pas quand même.
Elles me donnent la motivation de TOUS LES EXTERMINER !
J'ai fait cet ensemble boucles d'oreilles-dalek et pendentif-tardis (toujours porté au bout d'une longue chaine), mais en fait, les boucles d'oreilles sont parties chez une amie et le tardis chez une autre.
Je m'étais pas mal amusé avec le tardis, mais il s'est cassé au bout d'une heure de portage de collier ! Tardis en polymère : mauvaise idée...
Qu'à cela n'tienne, je suis revenue à la charge avec un petit tardis acheté en ligne (ici). Le petit "DW" (un peu flou parce que je suis une buse pour régler la mise au point de mon appareil photo) est un petit cabochon que j'ai personnalisé, de la même façon que sur le collier Layton.
Cette bague nostalgique en forme de manette de Super Nes a fini au doigt d'une amie gameuse qui la porte très bien !
Mon colocafrère (mélange surprenant de colocataire et de frère, une espèce très rare) a hérité de cette petite gameboy en porte clé, en mémoire de nos parties de pokémons d'enfance.
C'est l'un des premiers objets que j'ai réalisé en fimo ! (Comment ça, "ça se voit" ?!)
Peut être bientôt, sur ce blog, de nouvelles créations ? Si l'une d'elle vous a plu, sachez que je prends les commandes !
Trois livres pour mini-geeks
On aura tout vu ! Il se trouve que les geeks font des enfants maintenant !
A l'heure du débat idiot sur le genre dans les livres pour enfants, j'ai eue envie de vous parler d'un tout autre sujet : celui de la culture populaire dans la littérature jeunesse.
Vous êtes geek et vous avez - ou attendez - des enfants ? Transmettez votre passion grâce à cette sélection de livres nerdy-et-choupis :
Dark Vador et fils (Jeffrey Brown) (existe aussi en version fille avec la princesse Leia)
Fandom : Star wars
Un dark Vador tout gentil, en papa attentionné, un livre plein d'humour et rempli de tendresse. Cette petite bande dessinée explore la complicité des relations père-fils tout en montrant un personnage qu'on a l'habitude de voir en méchant dans un rôle attachant de père célibataire. Difficile de ne pas craquer !
Disponible ici : http://livre.fnac.com/a4084264/Jeffrey-Brown-Dark-Vador-et-fils#ficheResume
Zagreus : A Cautionary Tale for Time Tots (Traduction : Zagreus : un compte d'avertissement pour Mômes du Temps)
Fandom : Doctor Who
"Zagreus sits inside your head,
Zagreus lives among the dead,
Zagreus sees you in your bed,
And eats you when you're sleeping."
Une version illustrée de la comptine pour mini-timelords que l'on entends dans l'épisode audio Zagreus, fait pour les 40 ans de la série. Un épisode vraiment sombre qui en a fait flipper plus d'un, qu'une bande de fans a transformé en mignon petit livre pour enfants. Et les enfants aiment avoir peur... Et puis la prochaine fois qu'ils sont pas sages, dites leur que Zagreus viendra les boulotter dans leur sommeil ! (*sourire sadique...*)
Disponible ici (en anglais) : http://www.amazon.co.uk/Zagreus-Cautionary-Tale-Time-Tots/dp/1492969656
Zombie in love (Scott Campbell)
Fandom : ben, tout ce qui est zombie en général !
On trouve souvent vampires, loups garous, robot ou dinosaure dans la littérature jeunesse. Mais les zombies, hélas, sont bien plus rares !
Mortimer est un zombie qui cherche l'amour (ah, bah, à la veille de la Saint Valentin, ça tombe bien). Mais c'est pas facile quand le bouquet de fleurs que l'on tend à sa belle est accompagné de son bras qui s'est détaché de son corps !
Disponible ici (en anglais) : http://www.amazon.fr/Zombie-Love-Kelly-DiPucchio/dp/1442402709
Ah, et sinon, pas un livre, mais seulement sa couverture, disponible en affiche :
Un artiste américain du pseudo de Joebot a imaginé ces affiches à partir de jeux vidéos célèbres (bio shock ici, Red redemption, Half Live et Mass effect ici : http://jspiotto.blogspot.co.uk/2013/09/little-video-game-books-vol-2.html)
Perso, je kiffe.